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" Plongée dans la douceur liquide du ventre, les yeux obscurcis d’un voile translucide, je touche à tâtons le corps de l’autre moi-même. Différent. J’apprends l’espace de sa peau tout au long de cette nuit interminable, ponctuée de vagues lueurs incarnates. Je touche son corps, sûre de contempler le mien, miroir de mes sens. "

P. B.