SCENARIO A: L.Y.N.K c'est...

L.Y.N.K n'existe pas. Pas dans le monde connu des hommes à ce jour. On ne sait que peu de choses sur L.Y.N.K. C'est un espace-temps parallèle, à part, ailleurs ...Tout a commencé en 1995, en France. C’est sur un simple fax que deux artistes français ont reçu un message. “Le” message: les lettres "L.Y.N.K" accompagnées d'images étranges, le tout venu d'une source jusqu'à présent non-identifiable. L.Y.N.K pose une question: "Qui envoie ces images et dans quel but?" Sur les premiers fax reçus, on peut découvrir ce qui peut ressembler à des paysages, ou à des monuments, mais rien qui puisse s’apparenter à des architectures ou environnements connus. L.Y.N.K semble être une terre ou une ville, comportant des espaces arborés et des zones construites. Plus tard, d’autres fax arrivèrent, comportant des annotations, ne facilitant pas pour autant la compréhension et la localisation du phénomène. Des noms, baptisant très certainement les images en question, alimentèrent ce mystère encore irrésolu.

Pourtant, sur les premiers fax, on semble découvrir des fragments d'une histoire, sans connaître les personnages, comme un décor propice à des jeux de rôles intemporels. Ces paysages imaginaires sont désormais imaginés, réduisant volontairement la probable échelle de grandeur originelle qui parait au delà de toute réalisation humaine connue. Dans les images reçues de ce que nous appellerons désormais "les paysages virtuels de L.Y.N.K", le plus étrange réside peut-être dans la codification de signes évidents d'une appropriation des espaces et monuments par des êtres vivants et organisés, tels ces noms anglais (langue utilisée à l'origine par les artistes-traducteurs pour une compréhension universelle) qui accompagnèrent les images: "Glass Forest", "Temple of Light", "Baby Glass Tower", "Queen Glass Tower", "King Glass Tower"... Roi, reine, enfant, forêt de verre, temple de la lumière... De quoi alimenter les esprits les moins imaginatifs, mais sans laisser jusqu'à présent l'ombre d'une piste correspondant à un éventuel "royaume" connu.

Un jour, un fax encore plus inhabituel arriva aux artistes, avec une étrange consigne: "Reproduisez les images par la matière." A ce stade, les artistes eurent plusieurs axes de réflexion: - soit croire que de mauvais plaisantins leur faisaient une farce faxée, - soit penser avec engouement et appréhension qu'ils nageaient en pleine science-fiction, - soit suivre la consigne et diffuser leur interprétation de L.Y.N.K en attendant d'autres missives faxales. Ils choisirent cette dernière option: alors sont nés des objets insolites plus ou moins adaptés au monde humain, copies non-conformes des sites et monuments figurant sur les paysages virtuels de L.Y.N.K. Afin de rester dans l’ombre du projet, les artistes gardèrent le premier mot reçu par fax, "L.Y.N.K", pour marquer leurs travaux. L.Y.N.K semble être un probable dérivé du mot anglais "link" signifiant "lien"...

L.Y.N.K est désormais disponible sur Terre.

Pour en savoir plus, cliquez  ici

SCENARIO B: L.Y.N.K c'est...

... 2 Français, Nicolas G. et Didier M., résidant à Béziers, qui ont eu, un jour, envie de créer des objets ou des oeuvres insolites. L’un est scénographe et éclairagiste pour une compagnie de danse contemporaine, l’autre est chorégraphe contemporain, danseur et musicien. Ils réunissent leurs idées, leur savoir-faire, pour créer des pièces insolites parfois utiles, mais aussi, et parfois, inutiles. Inutiles, comme le beau et le bizarre.

L.Y.N.K est un concept ouvert qui permet des réalisations artistiques par la matière, et peut être bientôt s’ouvrira sur d’autres voies. Les objets présentés sur ce site sont des pièces uniques (le plus souvent) qui participent parfois à des expositions. Ces artistes ne créent pas pour vendre. Ils vendent les objets de L.Y.N.K uniquement lorsque quelqu’un tombe amoureux d’une oeuvre, et la désire passionnellement (mais oui... c’est arrivé !..)

Alors, chaque objet cédé est accompagné de sa carte d’identité, de recommandations pour qu’il reste en état le plus longtemps possible, et parfois même d’une “règle du jeu” pour le faire fonctionner...

Un exemple: imaginez que vous désiriez violemment posséder l’objet X (qui ressemble à s’y méprendre à un cendrier, mais qui est en fait une piscine royale en réduction) et que vous deviez le caresser deux fois avant d’y écraser votre cigarette ?
Contraignant non ?
Donc, WARNING:

Etes-vous toujours sûrs de vouloir posséder un objet L.Y.N.K ?

Si OUI, cliquer ici