Nous insistons sur la notion d’  " hypothèses ". En effet, les rapprochements évoqués n’ont pas été vérifiés de manière empirique et ne constituent donc pas une vérité à part entière. Néanmoins ces critères sont apparus en interrogeant un échantillon exhaustif de la population française. Il serait intéressant ensuite de confronter ce rapport avec une étude sociologique.

L’orientation de l’exposition photographique se fera quant à elle en fonction des rencontres de terrain et ne sera peut-être pas systématiquement en lien avec ces éléments d’études. La capture d’images ne représentera que la situation d’un moment donné en un lieu précis.

Effet indirect en lien avec habillement. Quand il fait chaud, on s'habille plus léger et le collier s'accompagne plus volontiers.

D'autre part, la nature de collier changera en fonction du climat. En présence du soleil, des colliers multicolores peuvent illuminés l'allure générale de la femme.

On peut penser également que dans les régions rurales, les colliers sont plus conventionnels tandis qu'à la ville des innovations sont toujours tentés et des modes sont initiées. Le taux de personnes qui portent des colliers en villes semble être plus important que celui des personnes qui vivent en campagne.

L'âge est aussi déterminant. Il semble que plus la personne est âgée, plus la probabilité qu'elle porte un collier classique est importante. Les jeunes femmes peuvent parfois préférer un style nouveau (pendentif apocalyptique; d'inspirations orientales…). Deux styles pourront alors s'imposer: la chaîne en argent, or (ou plaqué or) / et le pendentif accroché à un collier en cuir ou en cuivre.

Les colliers en or seront plus présent chez les classes sociales supérieures et les pendentifs représenteront pourront avoir plus souvent une représentation religieuse. Tandis que dans les couches sociales moins élevées, les femmes sont moins fidèles et pourront changer régulièrement le collier qui représente une valeur moins importante.

... A suivre